Une récente étude réalisée par des chercheurs de Stanford a révélé que certains prénoms sont statistiquement liés à des scores de QI plus bas. Si ces résultats peuvent paraître surprenants, ils reposent sur des observations de données recueillies sur plusieurs années. Quels prénoms sont concernés, et que signifient réellement ces chiffres ? Lisez la suite pour en savoir plus sur cette étude inédite et les explications des experts.
Les prénoms masculins avec un score de QI inférieur à la moyenne
D’après l’étude, six prénoms masculins présentent un quotient intellectuel inférieur à 90. En tête de liste, on trouve Jonathan, avec un QI de 80. Ce prénom, qui figure dans le top 800 des prénoms, est porté par 104 000 personnes en France. Suivi de près, Hervé, avec un QI de 83, est porté par 116 000 personnes, mais sa popularité devrait continuer à diminuer dans les années à venir. Le prénom Manuel, associé à un QI de 84, est encore assez répandu, avec 32 000 personnes ainsi prénommées.
Ensuite, l’étude mentionne Olivier, avec un QI de 86,5. Ce prénom, bien qu’en déclin, est toujours courant avec 256 000 porteurs. Les prénoms Thimothée et Julien, avec un QI de 87, complètent cette liste. Bien que moins populaires, ils restent encore donnés à de nombreux enfants chaque année.
Les prénoms féminins avec un QI inférieur à 90
Pour les prénoms féminins, l’étude en a identifié quatre dont le quotient intellectuel est inférieur à 90. En première position, on trouve Sarah avec un QI de 82, un prénom populaire mais en déclin, porté par environ 171 000 personnes en France. De même, Aline partage un QI de 82 et est un prénom présent dans le top 400, avec 64 000 femmes ainsi prénommées.
Louise, avec un QI légèrement supérieur de 85, reste un prénom stable et très répandu, avec 124 000 porteurs. Enfin, Caroline, avec un QI de 86,5, est également en déclin, bien qu’il soit encore porté par 146 000 personnes.
Conclusion : attention à l’interprétation
Bien que cette étude présente des corrélations entre certains prénoms et des QI plus bas, il est essentiel de ne pas tirer de conclusions hâtives. Le prénom, à lui seul, ne détermine pas les capacités intellectuelles d’un enfant. Il est important de replacer ces données dans leur contexte, en tenant compte des nombreux autres facteurs qui influencent l’intelligence, tels que l’environnement familial, l’éducation et les opportunités offertes. N’oubliez pas que ce ne sont que des statistiques.
Source : Pour plus d’informations sur cette étude, vous pouvez consulter cette publication de la National Institutes of Health (NIH).